du 27 avril au 26 mai 2019

Km parcourus : 7 854    
Temps de conduite : 107h 21m    
Vitesse moyenne : 73.18 km/h

Les 10 points à mettre en avant

  1. L’Allemagne reste le pays rêvé pour la conduite. Superbes routes, limitations de vitesse plus élevées, pas/peu de contrôles et amendes raisonnables.
  2. La Norvège possède des routes superbes et des paysages merveilleux. Ça vaut la peine de faire des détours, j’ai effectué environ 10% de kilomètres supplémentaires que prévu.
  3. Plusieurs tronçons de routes norvégiennes sont payants. Dès passé le cercle polaire, je n’ai plus remarqué de passages payants. Les plaques minéralogiques sont photographiées et une facture suit. Il est conseillé d’enregistrer son véhicule avant le départ via EPC (Euro Parking Collection plc)  https://www.autopass.no/en/autopass. Pour information je n’ai pas enregistré ma moto.
  4. Tout est cher en Norvège même la benzine bien que ce soit un pays producteur. Il faut compter, pour de la super 95, entre 1.80 le litre (Tromso) et 2.30 le litre (Kristiansund).
  5. En mai il peut faire froid mais il n’y a que peu de touristes. Dès mi-juin c’est le contraire.
    Par exemple, au Cap Nord, nous étions une cinquantaine de visiteurs. La place de parc peut contenir au moins 500 véhicules.
    Autre exemple, Geiranger peut accueillir jusqu’à 3 paquebots au fond du fjord.  Plus de 6’000 touristes dans ce village aussi grand que les Rasses, je vous laisse deviner le carnage.
  6. A ne pas manquer les 18 routes panoramiques de Norvège. Pour les détails : https://www.visitnorway.fr/planifier-voyage-norvege/astuces/routes-panoramiques-nationales/ .
  7. En mai certaines routes panoramiques d’altitude (moins de 1’000 mètres) peuvent être encore fermées pour cause d’enneigement. Par exemple, je n’ai pas pu passer le col de la route des Trolls (voir mon roadbook vendredi 10 mai).
  8. Je n’ai pas réussi à me souler en Norvège. A CHF 12 la bière j’ai préféré donner congé à mon foie. Je me rattraperai en Russie « na zdorovie ».
  9. Je n’ai pas rencontré un seul norvégien ne parlant pas l’anglais. De plus ils sont très accueillants, ouverts et prêts à donner un coup de main ou une bonne idée.
  10. Voyager seul c’est génial. S’arrêter où l’on veut, changer son itinéraire sans devoir demander l’accord de quiconque, dormir une nuit dans un bouiboui sans avoir les copains qui font une drôle de mine le lendemain matin, c’est le pied géant. De plus j’ai rencontré énormément de gens intéressants chose quasiment impossible en étant partie d’un groupe.

Encore un grand merci à Genny, Marcel, Rolf, Aina, Frans et Olga qui m’ont accueilli dans leurs homes et mobil home. Les fondues, la soupe de poisson et la viande d’élan autour de belles conversations étaient très appréciés.

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