Aujourd’hui est la première fois depuis bien longtemps que je roule que sur de belles routes bien goudronnées, sans nids de poules et sans déviations « travaux ». C’est reposant et ça va plus vite. Durant presque tout le trajet, la route et la voie de chemin de fer sont proche l’une de l’autre et je regarde passer les trains de marchandises. Mais maintenant, après les dangers des vaches, moutons, chèvres et chevaux traversant la chaussée, ce sont les chameaux. Je me trouve, la majorité du temps, entre le niveau de la mer et moins 33 mètres.

La température a bien baissé, entre 16 degrés et 18 degrés. Plus besoin de transpirer. La vidéo du jour et quelques photos de ces chameaux devant des paysages arides.

La ville d’Atyraou est située au bord de la Mer Caspienne, à l’embouchure du fleuve Oural. Pour cette raison certains considèrent que cette ville se situe à cheval entre l’Europe et l’Asie, car le fleuve Oural qui traverse la ville, est la frontière naturelle délimitant les deux continents.

En 1979 fut découvert le gisement pétrolifère de Tenguiz, à 350 km au sud d’Atyraou. C’est le plus important gisement de pétrole découvert ces dernières années et il contient également d’importantes réserves de gaz naturel. C’est le sixième gisement mondial.

A part une mosquée, pas grand-chose à visiter, c’est une ville d’expats avec bars et restaurants.

Photo « volée » sur Internet. J’ai vu suffisamment de très belles et anciennes mosquées pour ne pas visiter celle-ci.

Hôtel ATB Grand à Atyraou

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